mardi 23 novembre 2010

Nicolas Minus traite un connard de journaliste de pédophile

Moi Nicolas Minus, que ça fait longtemps que Je suis plus sain d'esprit, J'ai passé que des sales quarts d'heure à Lisbonne au sommet de Mon OTAN à Moi. D'abord J'ai été obligé de remettre en place le président roumain qui Me prenait le chou avec ses histoires de rom, ensuite J'ai été obligé de remettre en place le Mafioso Berlusconi qui avait pris sa défense et M'a traité de cinglé (mais ça, les journalistes, ces couillons décérébrés qui s'inclinent devant Ma petit personne n'en ont jamais rien su),

et pour finir J'ai été obligé de dire à un empaffé de journaliste qui Me prenait la tête avec l'affaire Karachi que si ça se trouve c'était un PEDOPHILE. Et comme ce petit saligaud est allé rapporter Mes propos, J'ai été obligé de demander à Mon Claude d'intervenir pour que les bandes sonores où J'ai dit ces conneries ne soient pas livrées au public, exactement comme les documents ultra-secrets de la DGSE qui prouvent Ma complicité dans l'affaire de KARACHI, que J'ai demandé à Mon fidèle souffre-douleur Fillon de ne pas livrer à ce petit curieux de juge Van Ruymbeke qui fait rien qu'à fouiner partout pour que les Français ne M'aiment plus. Tout ça, c'est à cause de la princesse de Fortuny-Orgerus, c'est à cause d'elle que je suis obsédé par la pédophilie…
J'ai peur. J'ai peur. J'ai peur. J'ai de plus en plus peur. J'ai dit.

jeudi 18 novembre 2010

Karachigate. Nicolas Minus se sent responsable de la mort des 11 Français

C'est Ma faute, c'est Ma faute, c'est Ma très grande faute.
J'aurais jamais dû trahir Chirac. J’aurais jamais dû marcher dans la combine à Sa Suffisance Goîtrée Balladur. Cette histoire de rétrocommissions, c'est du lourd. J'aurais dû dire niet à Charles Millon. Je suis un grand, un très grand, un très très grand méchant. A cause de Moi, quinze Français sont morts. Si encore ça avait rejailli sur Moi, comme Human Bomb, ce serait pas trop dérangeant, mais là Je sens que ça me va causer des emmerdements. Il y en a même qui utilisent l'expression Karachigate. Je veux pas finir comme Nixon, Je veux pas finir comme Nixon, Je veux pas finir comme Nixon!!! Et en plus il y a la bécasse norvégienne Eva Joly qui m'accuse de vouloir flinguer les juges d'instruction rien que pour ça… Et le méchant moustachu Edwy Plénel qui prépare un truc dans Mon dos… Je sais plus quoi faire, mon p'tit Claude, Je sais plus quoi faire… Je vais quand même pas envoyer des chocolats à Nathalie Drouet et Sandrine Leclerc, hein? Elles le prendraient mal, hein? Et puis, si ça se trouve, elles aiment pas le chocolat, ces petites, hein, Claude?

J'ai peur. J'ai dit.

mardi 9 novembre 2010

Nicolas Minus se recueille sur la tombe du général de Gaulle en pensant à ce crétin de Max Gallo

Aujourd’hui Nicolas Minus Se rend sur la tombe du général de Gaulle en compagnie de Son fidèle collaborateur sainte-nitouche François Fillon, qui vient de Lui avouer qu'il acceptait avec morgue et plaisir une année et demie de rabiot de bizutage. Je vais essayer de faire semblant de prier, pour donner le change auprès de ces connards de journalistes. Je suis pressé. J'ai pas que ça à foutre. J'ai un avion à prendre… Et puis, si Je M’attarde trop sur cette funeste journée du 9 novembre 1970, Je sens que Je vais me mettre à pleurer, et un chef ne doit JAMAIS pleurer, c'est Ma Maman à Moi Dadu qui Me l’a dit. J'ai dit.
PS. (euh, pardon, UMP…). En prenant l’avion à Villacoublay, Je viens de lire cet article impayable de ce crétin de Max Gallo. J'ai ri. Ça fait du bien. Je sens que ça va être une bonne journée. J'espère qu'il pleut pas trop à Colombey, quand même… J'ai dit.

mercredi 3 novembre 2010

Nicolas Minus ordonne à Bernard Squarcini d'espionner les journalistes qui Lui causent du tort et brûle un cierge en mémoire de Edgar J. Hoover

Moi, Nicolas Minus, sain de corps mais plus tout à fait d'esprit, J'ai décidé de mettre au pas les petits cons de journalistes qui cherchent à Me nuire. J'ai convoqué MM. Bernard Squarcini, grand chef de Mon renseignement, et Frédéric Péchenard, grand chef de Ma police, en présence de Mon conseiller spécial Henri Guaino, de Mon vice-président Claude Guéant, et de Mon conseiller ventriloque Jules Dessanti, et Je leur ai ordonné d'en finir avec tous ces petits cons de journalistes! L'un de ces braves M'a rétorqué que ce n'était pas facile, qu'il ne fallait pas aller trop loin, qu'on allait M'accuser d'avoir des penchants dictatoriaux, etc, etc…
Alors Je les ai mis dehors en leur hurlant d'obéir et J'ai brûlé en cierge en la mémoire de Mon nouveau héros Edgar J. Hoover, le plus grand flic que la Terre ait porté. J'ai dit.